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Envisager le grand âge avec sérénité

Prendre de l’âge, c’est l’opportunité d’avoir un autre regard sur le monde. Mais c’est aussi le moment où l’on ressent ses fragilités physiques et où l’aide des autres devient alors précieuse.

Sommaire

    Lutter contre la dépression

    L’avancée en âge s’accompagne de pertes successives (de proches, d’autonomie, du lieu de vie familier...) susceptibles de favoriser l’émergence d’une dépression. Celle-ci doit être traitée car elle peut avoir de graves conséquences pour la personne : altération de la qualité de vie, perte d’autonomie et risque suicidaire important. Les plus de 65 ans représentent en effet la tranche de la population la plus à risque de décès par suicide.

    La dépression chez une personne âgée se manifeste le plus souvent par une fatigue marquée ou durable, des plaintes sur la perte de la mémoire, un sentiment d’isolement, une perte de poids, le refus de s’alimenter ou de prendre ses médicaments, la consommation récente ou accrue de benzodiazépines ou d’alcool, des douleurs physiques ou encore des symptômes médicaux aussi multiples qu’inexpliqués. Dans certains cas, la dépression peut prendre des formes « masquées », comme l’absence de tristesse, de l’hostilité et de l’irritabilité, des conduites régressives…

    La confirmation du diagnostic permet d’enclencher une prise en charge thérapeutique adaptée. La prescription d’un traitement antidépresseur doit alors tenir compte des spécificités liées à l’âge (comorbidité, polymédication…). D’autres approches sont également envisagées, en particulier un suivi psychologique, la participation à des activités de groupe ainsi que la correction des problèmes auditifs et visuels de sorte à prévenir la perte d’autonomie et le repli sur soi. Sans oublier une bonne hygiène de vie, essentielle pour lutter contre la dépression : manger équilibré, modérer sa consommation d’alcool, pratiquer une activité physique et préserver son sommeil.
    Plus d’infos sur le site www.pour-les-personnes-agees.gouv.fr

    L’âge de la sagesse

    L’âge venant, on se sent moins actif et on n’a pas toujours la force de continuer à s’adonner à certaines activités. Cet état de fait peut avoir des conséquences sur notre moral, mais ce n’est pas pour autant que l’on doit se résigner et se replier sur soi-même. On peut très bien continuer à profiter pleinement de la vie, mais il est nécessaire de s’adapter à cette nouvelle donne. Pour y parvenir, il est important de reconnaître sa propre valeur, de savoir que, même si l’on est plus vulnérable, on reste toujours le même individu qui a toujours un rôle à jouer dans la société. Notre âge, celui de la sagesse, de la bienveillance, nous fait redécouvrir le monde sous un angle nouveau. Revisiter nos souvenirs, c’est se rappeler la richesse de notre vie. Cette période est aussi l’occasion d’approfondir ses connaissances : la lecture ou les moyens de communication à distance offrent de nombreuses possibilités.

    Savoir accepter l’aide des autres

    Ressentir une fragilité, devenir moins mobile, peut amener nos proches à nous proposer leur aide. Certains la refusent. Pourtant, savoir dire oui à leurs sollicitations, accepter ce réconfort qu’ils nous apportent ne signifie nullement qu’on est en train de s’affaiblir ou d’être infantilisé. Au contraire, le fait de faire participer ses proches à sa vie, de partager avec eux sa tristesse, ses émotions, rend plus fort. Alors qu’en les excluant, on bloque les échanges et on risque l’isolement. Ne pas être seul(e) dans ces moments-là, réfléchir à notre parcours de vie et mettre des mots sur une situation qui nous pèse peut susciter un dialogue avec les autres, de nature à nous procurer une sensation de mieux-être pour retrouver appétit et entrain, favoriser l’estime de soi et même libérer notre créativité.

    Faire face au deuil

    Après la perte d’un(e) conjoint(e) ou d’un(e) ami(e) très proche, nous mobilisons toute notre énergie pour faire notre deuil, continuer à vivre sans l’autre, redonner du sens à notre existence. Et ainsi de prendre le temps nécessaire pour trouver un nouvel équilibre en s’adonnant à diverses activités, pour se recréer des centres d’intérêt… Une démarche qui sera bénéfique aussi bien pour notre état général que pour notre moral.
    Il arrive que nous ayons à surmonter plusieurs deuils dans un laps de temps relativement court et, de ce fait, de voir notre réseau social s’amenuiser rapidement. Dans ces moments-là, malgré la douleur qui nous étreint, maintenir et ouvrir notre cercle relationnel est une priorité. C’est important parce que, après la perte d’êtres chers, nous avons tendance à nous isoler, à nous refermer sur nous-mêmesCette attitude, quoique compréhensible, conduit parfois à la dépression et à la fragilité physique. Le contact des autres peut nous en extraire, nous permettre de prendre un nouvel élan, nous remettre dans le courant de la vie. C’est vrai aussi lors de la perte d’un animal de compagnie qui peut être très attristante et laisser un grand vide dans notre quotidien.

    Un questionnement existentiel

    Parfois, nous nous sentons submergés par des questions sur le sens de la vie, parce que nous prenons conscience de notre finitude et de notre fragilité. Tout cela génère de l’angoisse et beaucoup d’interrogations. Certains se tournent alors vers la religion, la foi leur permettant de trouver une sérénité. D’autres cherchent des réponses dans la spiritualité, c’est-à-dire dans une exploration intérieure, une connaissance de soi. Quel que soit notre questionnement, quelle que soit la voie que nous choisissons, nous pouvons nous autoriser à en parler soit avec des personnes de confiance, soit avec le médecin traitant. Il existe aussi des associations d’écoute téléphonique qui peuvent donner des conseils. Reste que, malgré les difficultés existentielles, nous avons toujours des découvertes à faire d’autant que la vie reste riche de potentialités.

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