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La prévention des chutes

La chute peut être définie comme « une perte brutale et totalement accidentelle de l’équilibre postural lors de la marche ou de la réalisation de toute autre activité et faisant tomber la personne sur le sol ou tout autre surface plus basse que celle où elle se trouvait ». C’est un évènement fréquent chez les personnes âgées, car le vieillissement biologique peut altérer le fonctionnement des différentes composantes qui interviennent dans la posture et l’équilibre d’une personne (sensorielle, musculaire, posturale, somesthésique et cognitive). Il en résulte une augmentation très importante de l’incidence des chutes avec l’âge : environ 1 personne sur 3 âgées de plus de 65 ans et vivant à domicile chute au moins une fois par an. La proportion passe de 1 personne sur 2 pour les plus de 80 ans.

En France , les chutes des personnes âgées entraînent chaque année plus de 100 000 hospitalisations et plus de 10 000 décès. Ces chutes, dont les causes sont multiples et majoritairement évitables, peuvent avoir des conséquences physiques, psychologiques, sociales et marquer une rupture dans la vie des individus ainsi qu’une perte d’autonomie.

Prévenir les chutes est ainsi l’objectif de très nombreuses études, recommandations et programmes réunis ici. Et pour le grand public, recommandez la rubrique « Bien avec mon équilibre » sur pourbienvieillir.fr

Thélot B, Lasbeur L, Pédrono G., La surveillance épidémiologique des chutes chez les personnes âgées, Bull Épidémiol Hebd. 2017 (16-17) :328-35.

Sommaire

    Prévention - Le plan national antichute

    Réduire de 20 % des chutes mortelles ou invalidantes des personnes de 65 ans et plus d’ici 2024 : c’est l’objectif du plan national triennal antichute des personnes âgées lancé par le Gouvernement en 2022. Il s’articule autour de cinq axes :

    • Savoir repérer les risques de chute et alerter
    • Aménager son logement et sortir en toute sécurité
    • Des aides techniques à la mobilité faites pour tous
    • L’activité physique, meilleure arme antichute
    • La téléassistance pour tous

    Découvrez le plan antichute des personnes âgées en cliquant ici.

    Un an après son lancement, une conférence a été organisée le 28 février 2023 pour faire le point sur l’avancement et la suite du plan antichute des personnes âgées. La matinée était consacrée à des séances plénières et l’après-midi à des ateliers animés par les gérontopôles dans plusieurs territoires, autour de 5 thématiques :

    • Outils de repérage et de dépistage
    • Aménagement du logement et de l’urbanisme
    • Accès aux aides techniques et à la téléassistance
    • Exercice physique et activité physique adaptée
    • Formation des professionnels et sensibilisation du grand public

    L’objectif était de faire émerger des idées novatrices pour construire une nouvelle version du plan antichute.

    Surveillance - Enquête permanente sur les accidents de la vie courante (EPAC)

    À l’origine de 5 millions de recours aux urgences et des centaines de milliers d’hospitalisations chaque année en France, les accidents de la vie courante (AcVC) constituent un problème de santé publique important. Afin de fonder les actions de prévention, des systèmes de surveillance épidémiologiques sont mis en place. Implantée dans dix hôpitaux en France métropolitaine et un à La Réunion, l’enquête EPAC permet, à ce titre, de rendre compte des caractéristiques des AcVC. Ce rapport expose les résultats de 2010 par tranche d’âge, dont les 65 ans et plus.
    Dans la classe d’âge des 65 ans et plus, les chutes représentent 85 % des AcVC, survenant majoritairement à domicile, et sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes. Le taux d’hospitalisation augmente avec l’âge, passant de 23 % des accidentés entre 65 et 69 ans à 44 % au-delà de 90 ans, notamment pour des fractures et des lésions des membres inférieurs.

    L’enquête a été réalisée par l’Institut de veille sanitaire (InVS) à partir des données transmises par les Centres hospitaliers (CH) participant au réseau EPAC (Enquête permanente sur les accidents de la vie courante) en 2010 en France métropolitaine.

    Consulter l’enquête ici

    Surveillance – Causes, morbidité et mortalité liées aux chutes

    Cet article rend compte de la surveillance épidémiologique des chutes chez les personnes âgées (65 ans et plus) en France. Les principaux résultats liés aux chutes (causes, morbidité, mortalité) sont présentés, ainsi que les travaux en cours. Les données sont issues du « Baromètre santé 2010 », de l’« Enquête permanente sur les accidents de la vie courante » (EPAC), du Programme de médicalisation des systèmes d’information (PMSI) et de la base nationale des certificats de décès (CépiDC). Les travaux mettent en évidence les nombreux facteurs de risque, tels que des facteurs socio-économiques, environnementaux, biologiques et comportementaux. Et soulignent que l’origine des chutes est multiple (diminution des capacités musculaires, polypathologies, effets des médicaments, etc.) et les causes souvent intriquées. L’article confirme que les conséquences des chutes peuvent aggraver l’état de santé initial de la personne, tant sur le plan physique que psychologique.

    Thélot B, Lasbeur L, Pédrono G. La surveillance épidémiologique des chutes chez les personnes âgées. Bull Epidémiol Hebd. 2017(16 -17):328-35.  

    Consulter l’article ici

    Surveillance - Le risque de décès un an après une fracture du col du fémur

    L’étude a été réalisée à partir des données recueillies en 2008 et 2009 suite à l’hospitalisation pour une fracture du col du fémur de près de 95 000 patients de plus de 54 ans, assurés au régime général de l’Assurance maladie. Ces éléments ont été croisés avec ceux de la base AMPHI* destinée à mesurer la mortalité postopératoire en général. L’étude fait apparaître que, toutes causes confondues, 23,5 % des patients de 55 ans ou plus décèdent dans l’année qui suit une fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF), avec une surmortalité plus élevée chez les hommes. Il ressort que le risque de décès à un an augmente dès qu’il existe une pathologie chronique significative et croît jusqu’à 4,6 fois chez les patients les plus graves.
    L’étude conclut que pour réduire la mortalité en relation avec les FESF il convient d’agir sur les facteurs favorisant sa survenue : le traitement de l’ostéoporose, l’encouragement à l’activité physique et l’éducation à la prévention des chutes.


    Drees - méthodologie de l’étude : la population de la base AMPHI (Analyse de la mortalité post-hospitalisation en France en 2008-2010-recherche d’indicateurs par établissement) est celle des résidents de métropole et d’outre-mer, hospitalisés en 2008 ou 2009 et bénéficiaires du régime général de l’Assurance maladie, hors sections locales mutualistes (les affiliés à la Mutualité sociale agricole ou au Régime social des indépendants sont donc exclus de cette étude). Le décès des patients ayant été recherché dans les douze mois suivant la fin de l’hospitalisation, tous les décès survenus en 2008, 2009 et 2010 ont été analysés.

    Consulter l’article ici.

    Surveillance - Chutes et facteurs associés chez les aînés québécois

    Au Québec, les chutes constituent la principale cause de blessures chez les aînés. Cette étude avait pour objectif d’identifier des facteurs de risque et de protection associés aux chutes chez les aînés québécois vivant à domicile et de vérifier les liens entre la survenue des chutes, les problèmes de santé chroniques et le cumul de facteurs de vulnérabilité. Le lien entre chutes et problèmes de santé chroniques (arthrite, diabète, maladies cardiaques...) est confirmé, d’autant plus que les facteurs s’accumulent. La combinaison de facteurs de vulnérabilité (mobilité réduite, prise de médicaments, risque nutritionnel, précarité) est également corrélée à une hausse des chutes. La promotion d’habitudes de vie saines et la prévention de maladies chroniques sont encouragées ainsi que les interventions multifactorielles.

    Réalisée par l’INSPQ, l’étude a été effectuée sur la base des données de l’enquête « Vieillissement en santé » relative au Québec, réalisée par Statistique Canada en 2008-2009.

    Consulter l’article ici.

     

    Prévention - Activité physique et prévention des chutes chez les personnes âgées

    Afin d’analyser la pertinence et l’efficacité des programmes d’activité physique dans le cadre d’une expertise collective, l’Inserm a réuni un groupe d’experts compétents dans le champ de l’épidémiologie, l’épidémiologie clinique, la médecine physique et de réadaptation, la gérontologie et la gériatrie, la psychosociologie, la neurobiologie et l’économie de la santé. Un fonds documentaire de 1 570 références françaises et internationales a été soumis à l’analyse critique du groupe. Les experts ont également auditionné des représentants d’associations d’activité physique et sportive. Après analyse, les experts ont proposé une synthèse des connaissances scientifiques sur le sujet et ont élaboré des recommandations d’action et de recherche en termes de prévention et de prise en charge des chuteurs.

    Une expertise collective réalisée par l’Inserm en 2014, sur demande du ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports.

    Consulter l’expertise collective ici.

    Prévention – Leviers de participation aux programmes de prévention des chutes

    Cet article recense la littérature sur les facteurs facilitant ou entravant la participation à des programmes de prévention des chutes. Parmi les documents édités entre 1990 et mai 2012 dans les publications de langue française, anglaise et allemande, 19 ont été retenus et analysés.
    Leur étude montre que les interventions les plus efficaces doivent être d’intensité modérée et s’étendre sur plusieurs mois. Il se dégage par ailleurs 3 facteurs majeurs entravant ou facilitant la participation aux interventions :
    -    l’accessibilité financière et physique,
    -    l’importance du référent, le plus souvent un professionnel de santé en qui les personnes âgées ont confiance,
    -    la perception de la chute vue comme inévitable et face à laquelle la prévention peut sembler vaine.
    Au regard de ces freins et moteurs, la revue propose des recommandations d’actions et plaide pour une évaluation a posteriori des programmes de prévention mis en place.

    J. Bodard, S. Pin, D. Spini, P. Arwidson. Facteurs facilitant et entravant la participation des personnes âgées à des programmes de prévention des chutes : une revue de la littérature. Revue d’épidémiologie et de santé publique, vol. 63/2, 2013, 105-118.

    Prévention – Interventions efficaces : l’étude Ossébo de prévention des chutes

    Cet article rend compte des résultats de l’étude Ossébo, un essai contrôlé randomisé visant à évaluer l’efficacité d’un programme d’entraînement de 2 ans, sur la prévention des chutes traumatiques. Son impact sur la qualité de vie et ses effets néfastes potentiels ont aussi été évalués. L’étude a été menée avec des femmes de plus de 75 ans vivant à leur domicile et ayant des capacités physiques diminuées. Ce programme, axé sur l’entraînement progressif de l’équilibre et le renforcement musculaire, est le résultat du croisement des apports de la littérature scientifique et de l’expertise et expérience de terrain de l’association Siel Bleu. Les auteurs rapportent qu’à l’issue des 2 ans, le taux de chutes traumatiques est réduit de 19 % dans le groupe d’intervention comparé à un groupe témoin. Ils estiment que ce programme à l’efficacité démontrée mérite d’être mis en œuvre plus largement, notamment dans les milieux et territoires vulnérables.

    Dargent-Molina P, Cassou B. Prévention des chutes chez les personnes âgées de plus de 75 ans vivant à leur domicile : analyse des interventions efficaces et perspectives de santé publique. BEH, 16-17 (2017) :336-43.

    Consulter l’article ici.  

    Onaps. L’étude Ossébo de prévention des chutes : un partenariat réussi entre une équipe de chercheurs et le Groupe Associatif Siel Bleu. Un pour tous et tout ce qui bouge. Numéro 2, oct. 2018.

    Consulter l’article ici.

     

    Référentiel – Évaluation du risque de chutes : avis de la HAS

    La Haute Autorité de Santé (HAS) a été saisie afin de rendre un avis sur le score de risque de chute proposé par le Centre technique d'appui et de formation des centres d'examens de santé (Cetaf). L’enjeu étant son intégration dans l’actualisation du référentiel de pratiques des centres d’examens de santé (CES).
    L’avis a été rendu après une synthèse des recommandations françaises et internationales complétée par une synthèse de la littérature et l’interrogation des sociétés savantes concernées. La HAS considère que le score de risque élaboré par le Cetaf répond à un objectif de repérage. Mais en l’état actuel des connaissances, l’impact du repérage et de la prise en charge des personnes à risque de chute n’est pas démontré, étant donné le caractère multifactoriel des facteurs de risque. La HAS préconise une mise en place de la proposition du Cetaf dans des CES pilotes répondant à des exigences listées dans l’ouvrage.

    Réponse de la HAS, parue en mars 2013, à la saisine du 3 juillet 2012 en application de l’article L.161-39 du code de la sécurité sociale.

    Consulter le rapport ici.

     

    Référentiel - Prévention des chutes dans le cadre de l’expérimentation Paerpa

    La HAS a élaboré et validé avec les professionnels de santé, un cahier des charges et des cadres référentiels pour la mise en œuvre de l'éducation thérapeutique du patient (ETP) dans le cadre de l'expérimentation Paerpa (Personnes âgées en risque de perte d’autonomie). L’ETP a été reconnue comme pouvant être bénéfique au patient âgé dans le cadre d’une stratégie thérapeutique globale dans trois domaines : le risque élevé de chute, la polypathologie/polymédication et la dépression.
    « Le cadre référentiel ETP Paerpa – prévention des chutes » propose dans une première étape le repérage, l’évaluation des besoins (bilan éducatif partagé) et l’orientation des patients. S'ensuivent un rappel de la population cible et un rappel de la stratégie thérapeutique globale. Un référentiel des compétences à acquérir est ensuite proposé, complété par des exemples d’outils et de supports pédagogiques, des éléments destinés à l’évaluation individuelle de l’éducation, des exemples d’indicateurs d’évaluation du programme et quelques exemples de programmes.

    Cadre référentiel pour la mise en œuvre en équipe de l'éducation thérapeutique du patient (ETP) dans le cadre de l'expérimentation Paerpa, publié en juillet 2014 par la HAS.

    Consulter le cadre de l’expérimentation PAERPA ici.

    Enquête ChuPADom - Chutes des personnes âgées à domicile

    En France, les chutes sont à l’origine de près de 9 300 décès chez les personnes âgées (données 2013). En 2010 ces chutes représentaient 85 % des recours aux urgences pour un accident de la vie courante chez les personnes de 65 ans et plus. Leur fréquence dans cette population, leur gravité en termes de morbidité et mortalité et les risques de perte d’autonomie qui en résultent en font un problème de santé publique majeur.

    Santé publique France a réalisé une enquête auprès des personnes de 65 ans et plus hospitalisées suite à une chute à domicile et présentant au moins une lésion. Cette enquête prospective multicentrique (7 hôpitaux participants) est composée de deux volets : volet « Hospitalisation » suivi d’un volet « Séquelles » un an après la chute. Le premier volet avait pour objectifs de décrire les caractéristiques et les circonstances des chutes survenant à domicile chez les personnes âgées de 65 ans et plus, et d’identifier des profils de chuteurs selon des caractéristiques variées (sociodémographiques, maladies chroniques, autonomie, recours à une aide à domicile, logement, activité au moment de la chute, etc.) afin de contribuer à la mise en place d’actions ciblées de prévention.

    Au total 1 467 personnes hospitalisées pour une chute à domicile dans un des sept hôpitaux de l’étude ont répondu au questionnaire de l’enquête. Les répondants étaient majoritairement de sexe féminin (69 %) et âgés en moyenne de 84,5 ans. Près de 80 % des patients ont chuté durant la journée, principalement le matin (38 %) et 48 % sont arrivés aux urgences moins de 3 heures après la chute. Les activités réalisées au moment de la chute les plus fréquemment citées étaient l’hygiène/la toilette (15 %) et la marche (14 %) ; le lieu de survenue de la chute était pour un patient sur cinq la chambre et la chute était pour 43 % des cas de leur hauteur ou de faible hauteur. Plus de la moitié des patients (53 %) avaient déjà été victimes d’une chute lors des 12 mois précédent l’enquête, dont un tiers avaient nécessité une hospitalisation.

    Près de 45 % des patients de l’échantillon souffraient d’une fracture à la suite de la chute, un quart présentait une plaie et 27 % une contusion ou une ecchymose. Les membres inférieurs étaient la partie du corps la plus fréquemment touchée. Environ 16 % ont eu un traumatisme crânien, 14 % présentaient une rhabdomyolyse et seulement 4 % un syndrome post-chute.


    Dans cet échantillon, 5 profils de chuteurs ont été identifiés :

    -   Le profil 1 regroupe 6 % de l’échantillon et est principalement constitué d‘hommes, de jeunes séniors, autonomes, chutant de grande hauteur dans des pièces annexes de la maison voir les parties extérieures, en ayant pris des risques ;

    -   Le profil 2 regroupe 5 % de l’échantillon : jeunes séniors, avec certaines limitations de santé, vivant dans une maison pas toujours adaptée à leur état de santé, chutant dans les escaliers ;

    -   Le profil 3 regroupe 32 % de l’échantillon : des personnes autonomes, se percevant en bonne santé et chutant lors d’une perte d’équilibre ou de leur hauteur ;

    -   Le profil 4 regroupe 54 % de l’échantillon : principalement des femmes, âgées, se percevant en mauvaise santé, dépendantes, chutant lors d’activité à faible intensité ;

    -   et enfin, le profil 5 pour 3 % de l’échantillon : personnes très âgées, dépendantes pour les activités de la vie quotidienne, dont les informations déclarées sont souvent manquantes.

    Les profils 4 et 5 qui représentent les personnes les plus âgées et dépendantes étaient 40 % à présenter une fracture à la suite de la chute alors que dans le profil 1 (hommes, jeunes et autonomes), ils étaient 65 %. Plus les patients sont jeunes et semblent en bonne santé, plus ils ont tendance à chuter lors d’activités à intensité modérés à intenses ce qui est plus propice aux fractures. Le syndrome post chute (altération de l’équilibration et de la marche associée à des troubles d’ordre psychologique pouvant aller jusqu’à la dépression) concerne peu de patients, mais semble toucher plutôt les chuteurs des derniers profils (4 et 5), profils pour lesquels la proportion de récidive de chute est la plus importante. Enfin, 27% des patients du profil 5 ont subi un traumatisme crânien, ce qui pourrait expliquer le nombre important de non réponse dans le questionnaire, lié à un esprit confus.

    Ce rapport présente des premiers éléments d’informations concernant les circonstances de la chute et l’identification de profils de chuteurs afin de pouvoir mettre en place des interventions ciblées. Le volet « Séquelles » en cours d’analyse présentera les séquelles un an après cette chute, et notamment le devenir de ces patients (décès, récidive de chutes, séquelles...). Ces résultats permettront d’identifier les niveaux de risque des chutes les plus graves et d’adapter les mesures de façon plus adéquate aux différents profils.

    Consulter "Chutes des personnes âgées à domicile. Caractéristiques des chuteurs et des circonstances de la chute", le volet « Hospitalisation » de l'enquête ChuPADom ici.

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